Une France juste et solidaire

Publié le par A.N.A.N.S. 29

ANANS29---CHATEAULIN.jpgLe 25 janvier a eu lieu à Châteaulin la seconde action départementale en faveur du Président de la République. Une réunion initiée et organisée par Caroline Amiot-Vigouroux, déléguée de la 6ème circonscription, et animée par la vice-présidente départementale, Ghislaine Bourland.



Cinq ans d'actions au service des Français

Une France juste et solidaire, des mesures en faveur des familles et des plus fragiles.

Nous vivons dans un monde en perpétuel mouvement, où les décideurs publics doivent adapter en permanence leur feuille de route. Celui qui occupe la fonction suprême doit être un visionnaire, au risque d’être incompris. Le Président de la République est l’un d’entre eux.

La crise des subprimes de l’été 2007 a bouleversé durablement l’économie mondiale. L’Europe traverse une crise profonde qui a plus ou moins affectée, et continue d’affecter le pouvoir d’achat de ses populations. Pour limiter ses conséquences et protéger les français les plus fragiles, Nicolas Sarkozy a pris dans l’urgence plusieurs mesures. 


En temps de crise, les notions de solidarité et d’entraide prennent tous leurs sens.

Selon une étude de l’INSEE publiée le 30 août 2011, la pauvreté a progressé dans notre pays portant le taux de pauvreté à 13.5 % pour 2009 ; alors qu’une tendance à la baisse avait été enregistrée pour l’année 2008 (13,4 % début quinquennat – 13 % en 2008). Principale responsable : la crise la plus grave depuis 1929.

Une famille sur huit dispose pour vivre de moins de 954 € par personne/mois, qui constitue le seuil de propreté (60 % du niveau de vie médian). Les foyers monoparentaux sont les plus touchés. La moitié d’entre eux doit se débrouiller avec 760 euros par personne/mois.


Sans les dispositifs de soutien voulus par le Président de la république et mis en œuvre pour amoindrir les effets de la crise, la situation serait pire. D’après une étude de l’Eurostat, la France est l’un des pays industrialisé où le taux de pauvreté a le moins augmenté durant la crise.


Les dispositifs gouvernementaux de soutien ont bel et bien protégé les plus démunis.

Au plus fort de la crise, au premier semestre 2009 :

ü  dans le cadre du plan de relance, une prime exceptionnelle, dite prime de solidarité active de 200 euros, a été versée à 4,2 millions de Français afin d’aider financièrement les ménages dans l’attente de la mise en œuvre du Revenu de Solidarité Active (RSA)  et éviter une aggravation de leur situation.

ü  Les bénéficiaires de la prime rentrée scolaire ont reçu une prime exceptionnelle de 150 euros.

ü  Les chômeurs non indemnisés ont perçu une prime exceptionnelle de 500 euros.

En parallèle, l’allocation des adultes handicapés a été revalorisée (+ 25%), ainsi que le minimum vieillesse (+ 25 %), conformément aux engagements du candidat Sarkozy à l’élection présidentielle de 2007.  621 euros fin 2007, 776 d'euros en septembre 2012, soit 150 euros de plus en 5 ans. Cela représentera, au total, plus de 1,4 Md d'euros supplémentaire en 2012 par rapport à 2007


Des mesures ont également été prises pour faire baisser le tarif électrique de première nécessité. Un tarif spécial de solidarité GAZ est en place depuis août 2008. Cette aide a été revalorisée de 20 % en avril 2011.

Monsieur Hollande, « l’inventeur de ce qui existe déjà », inscrivait ce point, la semaine dernière, à son catalogue de promesses. Au Bourget, il s’est repris au détriment des classes moyennes. Désormais, il parle d’indexer sur le revenu la consommation d’eau, de gaz et d’électricité.

« Monsieur Hollande croit, peut être, avoir le monopole de la solidarité parce qu’il y a social dans parti socialiste, et peut par conséquent dire tout et son contraire ! »

L
e nivellement par le bas, la baisse du pouvoir d’achat des classes moyennes pour financer l’assistanat, ce n’est pas l’idée que se fait le Président de la République de la justice sociale.


En revanche, la valorisation par le travail, OUI.
La France des droits et des devoirs, OUI


Lors de la présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy expliquait que nous devions tendre la main à celui qui rencontrait l’adversité, nous devions l’aider à sortir la tête hors de l’eau, et le mettre en situation de se hisser sur le bord.

Le RSA, engagement majeur de campagne de Nicolas Sarkozy, qui a été généralisé en décembre 2008, traduit sa volonté de « Lutter contre la pauvreté par l’incitation à la reprise d’activité » 

ü  Le RSA a été étendu aux jeunes de – 25 ans à compter du 1er septembre 2010.

Le RSA réunit en un même dispositif les ex-RMI et les ex-API (Allocation Parents Isolés) –Les RSA socles : 1 181 000 foyers-, ainsi que les travailleurs à faibles ressources -les RSA « Activités » : 670 544 foyers-.

Ce dispositif a été soumis à une première évaluation en décembre denier. Le rapport fait apparaître de grandes disparités de résultats d’un département à l’autre, strate territoriale responsable de la coordination et du pilotage.

2/3 des foyers éligibles au RSA « Activités » n’en bénéficient pas par méconnaissance. Le sentiment de se débrouiller tout seul prédomine.  Les interrogés déclarent craindre une démarche trop complexe. Le rapport conclut sur un manque cruel d’information.

   
Néanmoins, le RSA a permis à 150 000 personnes de sortir de la grande pauvreté.

En matière de logement des plus démunis,

-       116 000 places d’hébergement en plus ont été ouvertes de façon permanente. Soit 25 000 places de plus en 4 ans.

-       131 000 logements sociaux ont été mis en chantier

Le Président de la République considère que cela n’est pas assez.  C’est cependant considérable sur un quinquennat.

Certaines de ces AVANCEES, sont méconnues, ou sont passées inaperçues en ces temps complexes de crise. L’ANANS est là pour rendre justice à l’action présidentielle. C’est l’objectif  premier des renions-débats qu’elle organise.


Notre pays dispose de formidables atouts.

De nombreux pays nous envient notre politique familiale, dont notre voisin l’Allemagne. Ce pays détient le plus faible taux de natalité du monde, et son accroissement naturel est négatif depuis les années 1980.  

La France se situe en deuxième position derrière l'Irlande avec un taux de 2,01 enfants par femme (un bon taux, mais en-dessous du seuil de renouvellement des générations = 2,05). C’est le fruit d’une politique familiale volontariste décrétée par le Général De Gaulle, dont le quotient familial est une composante. 4,5 millions de famille sont concernées.

Il a quelques jours, Manuel Valls annonçait la suppression du quotient familial. Le jour même, le candidat Hollande nuançait parlant de réaménagement, de modulation redistributrice fonction des revenus pour gommer une injustice favorisant les riches au détriment des plus démunis…  Dans ses explications confuses, il oubliait un détail majeur : le quotient familial est déjà plafonné. Une preuve s’il en fallait du manque de sérieux d’un candidat qui se voit déjà occuper l’Elysée !

En s’en prenant à la politique familiale, François Hollande met en danger une politique performante dans un amalgame de mesures familiales et de mesures sociales. Le Président de la République disait récemment « pourquoi changer ce qui marche ».

-     Le Président de la République avait promis 200 000 places d’accueil pour les jeunes enfants, engagement tenu.

-     Un congé solidarité permet désormais à tout salarié de s’absenter pour assister un proche en fin de vie ; une allocation spécifique a été créée en 2010.

-     Depuis 2008, les allocations familiales sont revalorisées en fonction de l’inflation, soit une hausse de 1,5 Md d'euros sur cette période

En matière de logement,

-     Depuis plus d’un an, un prêt à taux zéro renforcé (le PTZ+) facilite l’accession à la propriété des primo-accédants ;

-     Les 11 millions de ménages locataires n’ont pas été oubliés. Depuis décembre 2007, les loyers sont indexés sur les prix et non plus sur le seul indice de construction. Un critère plus juste.

N.B. Seules quelques avancées du quinquennat sont reprises in-situ.

A l’ANANS, nous nous efforçons de lutter contre la mal-information et la désinformation qui nuisent à Nicolas Sarkozy.

Chacun à notre manière, nous pouvons rendre justice à l’action du Président de la République.

CHACUN à notre manière, nous pouvons agir pour qu’il poursuive son action au service de la France et des Français.

En adhérant à l’ANANS29, vous envoyez un message fort à Nicolas Sarkozy, mais également aux indécis du département.

Ensemble, nous maintiendrons à l’Elysée la seule personne en capacité de conduire le pays.

 

Ghislaine Bourland

Vice-présidente départementale ANANS

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